Séance n°7, mercredi 15 mars 2023. Compte-rendu rédigé par Han Jiang et Wenshu Ding.
Figure 1. Conférence 7, master 2 « Design, Arts, Médias », promo. 2022-2023.
1.Présentation
La table-ronde intitulée « Par le Faire » modérée par Antonella Tufano, co-responsable de la Chaire EFF&T de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, comprend Manon Scotto, docteure et Ingénieure de Recherche de la Chaire EFF&T, Nicolas Vernet, docteur et post-doc ENSAG, chargé de Mission Archifolies, ainsi que Bendicht Weber, co-responsable de la Chaire EFF&T et professeur à l'École nationale supérieure d'architecture de Paris la Villette. Antonella Tufano nous a présenté les intervenants de la conférence. Manon Scotto a souligné l'importance de la pratique et de l'expérimentation dans toutes les formes pédagogiques de recherche de réalisation. Bendicht Weber a exploré les activités dans la pédagogie et le lien avec les collectivités territoriales. Finalement, Antonella Tufano a présenté Nicolas Vernet qui apporte une expertise sur les démarches de construction recherche expérimentation avec les parties prenantes. Dans le cadre de cette séance, les intervenants auront mis en avant les notions d'expérimentation par le faire, ainsi que la collaboration interdisciplinaire. Ces expérimentations en situation donnent lieu à de nouvelles questions de recherche, dépassant les limites traditionnelles des échelles et des disciplines telles que le design, l'architecture ou le paysage. La séance présente un corpus d'actions ayant émergé de ces initiatives, et permet d'explorer les enjeux de la recherche par le faire et de la transmission collaborative.
2.Manon Scotto
2.1 Introduction
Le point de départ de la chaire EFF&T est le suivant : l'observation du foisonnement des expériences architecturales, urbaines et paysagères dites expérimentales montre que des citoyens, des élus et des professionnels s'emparent quotidiennement et localement de ces questions. La chaire interroge ces situations expérimentales par la pédagogie et la recherche, en se concentrant sur leur méthode d'ancrage dans un territoire donné et les processus de valorisation.
2.2 Objectifs
Le but de la chaire n'est pas d'arriver en surplomb pour expliquer aux acteurs des territoires comment faire, mais plutôt, à l'inverse, d'apprendre ce qui se fait déjà dans les territoires. La chaire observe les manières dont ces savoirs et savoir-faire se créent et se transmettent à partir des situations de terrain, en prenant en compte les enjeux contemporains tels que la transition écologique, la transmission des savoirs, le jeu des acteurs et la dynamique territoriale.
2.3 Approche méthodologique
Dans le cadre de cette recherche, les possibilités d'expérimentation dans l'organisation des acteurs impliqués dans les projets sont explorées, notamment en impliquant les habitants et les élus dans des réunions. L'expérimentation peut également se manifester sur le plan foncier, en densifiant les territoires et en réinvestissant les zones qui ont tendance à être délaissées. Pour ce faire, des acteurs du territoire sont mobilisés, tels que des élus, des agglomérations, des usagers, des enseignants et des chercheurs en école d'architecture, ainsi que des institutions telles que l'Université Parisien, le GAIA1 et des experts issus du monde professionnel, tels que des architectes et des designers. L'objectif est d'expérimenter dans un cadre interdisciplinaire en se rendant physiquement sur les territoires afin de recueillir les expériences et les discours des acteurs impliqués et de les mettre en lien avec le cadre académique de la recherche et de l'enseignement. L'approche « faire/fabriquer » vise à articuler la théorie et la pratique en créant un réseau élargi d'acteurs de la fabrique architecturale européenne, comprenant des acteurs publics, privés et de la société civile. Enfin, l'objectif de la transmission est de s'inscrire dans un cadre pédagogique ouvert, afin d'identifier de nouveaux champs de compétences et de renouveler les métiers et les formations dans la fabrication de nos cadres bâtis.
2.4 Enjeux et questionnements
Des enjeux et des modalités doivent être pris en compte, tels que l'importance de reconnaître l'existence des pratiques déjà en place et de ne pas arriver en pensant que tout est acquis. Il s'agit de contribuer à l'observation, à la consolidation et à la transmission de ces pratiques autant que possible et de devenir la plate-forme qui recueille les témoignages de ces acteurs des situations expérimentales. L'objectif est de les mettre en relation, de les rendre poreux, de les rendre perméables et de les faire échanger entre eux. Dans les prochains ateliers, des intervenants des premiers ateliers de certains territoires seront réinvités pour partager leurs expériences mutuelles.
2.5 Premier atelier de la chaire
Le premier atelier organisé par la chaire avait pour thème « Ce que l'expérimentation change aux pratiques habituelles ». Il s'est tenu en 2021 au théâtre de Gennevilliers. Le terrain comme laboratoire a été identifié comme l'un des premiers points importants. Selon les architectes2, cette approche permettrait de penser le projet dans son ensemble, dont les éléments interagissent en permanence. Cela permettrait également d'acquérir des savoir-faire plutôt que des certitudes et de déployer une souplesse intellectuelle, conceptuelle et pédagogique dans l'échange avec les territoires et les acteurs. Pour eux, cela se traduit concrètement par une présence régulière dans le quartier, la participation des habitants sous la forme d'une permanence, la mise en place d'un lieu associatif sur place pour recueillir des témoignages et des discussions, l'expérimentation de techniques constructives et l'organisation de chantiers pédagogiques sur des techniques liées à la mise en œuvre de la terre et du réemploi de matériaux récupérés sur d'autres chantiers. Enfin, cela se manifeste également par l'animation d'ateliers pédagogiques dans l'école du quartier pendant trois ans pour rénover certaines parties de l'école avec les enfants du quartier.
L'équipe d'architectes se définit comme des architectes de quartier qui se mettent au service d'un territoire. Ils cherchent à établir un vocabulaire commun avec les acteurs élus, les usagers, les habitants et les enfants pour remettre en question la commande et pallier la standardisation de certains cahiers des charges habituels. Une société coopérative d'intérêt collectif d'architecture propose quatre champs d'action principaux, à savoir le réemploi, l'urbanisme de transition, la réalisation d'études et de recherches pour des commandes spécifiques et la formation de professionnels à ces enjeux. En 2020, le ministère de la culture leur a demandé de partager leurs expériences d'expérimentation avec les étudiants des écoles d'architecture, notamment lors du festival de Blasto. Ils ont créé une école de l'expérimentation à Evry Courcouronnes pour explorer les enjeux de densité urbaine, de type d'habitants et d'activité en tant que territoire habité. L'objectif est de s'ouvrir au public avec des ateliers et des événements festifs pour expérimenter à petite échelle. L'expérimentation soulève des questions sur les pratiques, les compétences et la recherche, transformant ainsi le terrain en un laboratoire d'apprentissage de l'acte de création et de recherche. Un autre enjeu important est le « faire ensemble pour un vivre ensemble ». Patrick Bouchain3 aborde notamment la notion de démocratie en expliquant que pour pratiquer l'expérimentation, il faut faire preuve de démocratie. Cela implique de favoriser les interactions sociales, les allers-retours entre conception et pratique, et l'ouverture des réseaux d'acteurs pour nourrir notre manière de construire nos espaces bâtis et paysagers. Au lieu de diviser les tâches et de spécifier les profils pour une prétendue efficacité, il s'agit plutôt de révéler les points d'accord entre les acteurs et de défendre les relations de confiance réciproque véritables. Le dernier point soulevé lors de cet atelier était le « faire pour apprendre4 ». Les Grands Ateliers5 ont été créés dans les années 90 pour permettre aux étudiants, architectes et ingénieurs de fabriquer des projets à l'échelle 1 : 1. Il s'agit d'un lieu de partage d'expérimentation entre la pratique et la recherche, ce qui inclut même l'apprentissage des techniques de la terre. Jean-Claude Bouly a également souligné l'importance de l'apprentissage par l'entrepreneuriat, et a modifié la phrase en disant que « rien ne sert d'apprendre pour entreprendre, c'est en entreprenant qu'on apprend ». En conclusion, les ateliers doivent être à la fois adaptatifs et réactifs aux situations, mais il est également essentiel d'avoir le temps nécessaire pour mener à bien ces projets d'expérimentation. Les retombées de ces projets peuvent être culturelles, matérielles ou intellectuelles.
3. Bendicht Weber : Projet Archi-Folies
3.1 Introduction : Contexte et but de la création du projet
Le projet Archives folie sur lequel travaille Bendicht Weber depuis peu se situe plutôt à la fin du projet, si l'on observe le graphique chronologique. Nommé Archi Folie, ce projet a débuté en juillet 2022 et a été commandité par le ministère de la Culture et les écoles d'architecture, qui en sont les tutelles. Bendicht Weber a été mandaté avec son collègue pour ce projet précisément. Il s'agit d'un projet de coordination et de construction de pavillons à échelle 1 dans toutes les écoles d'architecture publiques françaises, en vue des Jeux olympiques de 2024. L'objectif est de mobiliser les écoles d'architecture pour valoriser les enseignants et la diversité des écoles. L'idée est de bâtir des pavillons en association avec des fédérations sportives, qui ont chacune leur propre thématique. Ce projet offre aux écoles une véritable opportunité pour expérimenter des projets de construction à échelle un avec un vrai commanditaire, une thématique sportive et des règles bien définies. Les grands ateliers qui supervisent techniquement ces projets travaillent en étroite collaboration avec les équipes d'enseignement et les étudiants pour mener à bien le projet. Le parc de la Villette, sous la tutelle du ministère de la Culture, a accueilli quelques petits workshops, et les JO 2024 vont également se dérouler dans cette zone du parc. Le Comité national des Français des Jeux olympiques a prévu de privatiser une zone pour interagir avec le public et les athlètes pendant les JO. Ce projet est une opportunité pour mobiliser les écoles d'architecture et montrer leur savoir-faire international. Le ministère de la Culture est ravi de ce projet et espère qu'il pourra être un succès pour tous les participants. En tant que coordinateur général des ENSA6 pour ce projet, Bendicht Weber a pour mission de coordonner les différents acteurs des écoles et de présenter des solutions techniques d'accompagnement. Il est également chargé de coordonner certaines réunions pour faire interagir les différentes filières nationales et les étudiants.
3.2 Coordination du Projet
Bendicht Weber a également la responsabilité de coordonner l'événement annuel qui se déroule dans le parc de la Villette et d'insérer les écoles dans le site le plus justement possible. Pour cela, il doit coordonner différentes agences pour mettre en récit cet événement et permettre aux écoles de se positionner dans le parc conformément aux directives techniques établies. L'objectif est d'assurer l'unité tout en préservant la diversité des propositions actuelles. Le cahier des charges technique établi doit permettre à tous les participants de s'exprimer sur une même base d'égalité sans prendre le pas sur les autres écoles.
3.3 Réalisations et impacts du projet
Dans le cadre de la création d'un parc dédié à l'enseignement des arts et de l'architecture, trois propositions différentes d'agences ont été examinées pour l'implantation de structures dans ce lieu. L'objectif était de trouver une solution qui soit à la fois pédagogique et répondant aux normes de sécurité. Les agences étaient composées d'enseignants et d'architectes urbanistes parisiens. Les équipes ont répondu de manière complémentaire et juste à la question en termes de pédagogie et de rencontre des équipes d'étudiants. Le premier projet consistait en la création d'une infrastructure pour réunir les différentes écoles d'art, en jouant avec la trame de Tschumi pour créer des mini-folies. La deuxième proposition visait à créer une infrastructure diversifiée qui réunirait plusieurs pratiques et enseignements. La troisième équipe s'est efforcée visuellement de créer des petits pavillons très divers pour tester son idée et voir si cela fonctionnerait. La contrainte de sécurité est survenue en cours de conception, et la première équipe a remporté la compétition en plaçant les écoles dans la limite qui leur était présentée. Les règles ont été mises en place pour donner une unité à l'ensemble, tout en laissant une grande liberté dans la construction et la pédagogie. L'unité ainsi créée était à la fois sportive et liée aux Jeux Olympiques. Chaque équipe a reçu une parcelle identique qui pouvait être liée à d'autres, créant ainsi des collaborations potentielles. Les compagnons du Tour de France utilisent maintenant régulièrement l'endroit situé à côté de son école, car il s'agit d'un emplacement idéal pour construire des échelles de grande envergure et des poutres de grande portée. Les étudiants en art, en architecture et en ingénierie se trouvent souvent dans cette zone, car elle abrite un outil professionnel dédié entièrement à la pédagogie et à l'expérimentation. Bien que situé à L’Isle-d’Abeau, près de Grenoble et de Lyon, cet outil est ouvert à tous les étudiants de France et attire des programmes pédagogiques provenant de tout le pays. Cette installation a permis à son école de mener de nombreux projets, dont certains ont servi de base à leur participation à des compétitions internationales telles que Solar Décathlon, qui mettent en concurrence des maisons solaires construites par des étudiants. Ces compétitions impliquent des règles strictes et des contraintes financières.
4. Nicolas Vernet
4.1 Durabilité et adaptabilité en architecture et urbanisme
La présentation traite des expérimentations architecturales et urbaines menées dans le cadre de divers projets, avec une attention particulière portée à leur dimension matérielle et immatérielle. Nicolas Vernet met l'accent sur l'importance de considérer les aspects liés à l'usage et à la durabilité, en explorant comment différents projets peuvent s'adapter à diverses situations. L'exemple de projet en cours, tels que les pavillons des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, qui seront installés dans un parc un mois et demi avant les Jeux olympiques, illustre les opportunités intéressantes de ce type de projet pour explorer différentes utilisations et configurations. Les pavillons pourraient être réutilisés par les fédérations paralympiques après les Jeux olympiques et être encouragées à prospecter avec des partenaires locaux pour explorer comment les pavillons pourraient être utilisés dans leurs territoires.
4.2 Recherche et collaboration dans l'architecture expérimentale
Nicolas Vernet aborde également la relation entre des expérimentations et la recherche, en mentionnant l'importance de la recherche et de l'analyse pour mieux comprendre les processus et les motivations derrière les expérimentations, en soulignant aussi l'utilité de recueillir et d'analyser des données afin de ne pas perdre d'informations précieuses. L'importance de la communication et de la collaboration entre les acteurs impliqués est soulignée, notamment en ce qui concerne la définition des objectifs et des attentes. Nicolas Vernet insiste également sur la nécessité de rendre visibles les progrès réalisés à différentes étapes du processus, en utilisant divers moyens tels que les textes, les images et les dessins. Plusieurs projets spécifiques, tels que le Lycée avant le Lycée à Bagneux et l'atelier d'architecture autogérée, sont présentés pour montrer comment ces expérimentations peuvent mobiliser divers acteurs et contribuer à la transition écologique et au changement climatique. Le New European Bauhaus est également mentionné comme une initiative encourageante et soutenant ce type d'expérimentation à l'échelle européenne, bien que sa reconnaissance en France soit limitée.
4.3 Réaménagement collaboratif et expérimental
La présentation aborde également le processus de réaménagement et de réutilisation de l'Hôtel Pasteur situé à Rennes. Le bâtiment, autrefois une faculté des sciences puis une faculté dentaire, a perdu sa vocation initiale. Patrick Bouchain, architecte co-fondateur de la Chaire, et le maire de l'époque, Jean-Michel Delevoy, se sont rencontrés pour discuter de l'avenir du bâtiment et de son potentiel en tant qu'espace culturel et éducatif. Au lieu de déterminer un programme fixe, ils ont décidé d'adopter une approche expérimentale et collaborative. Ils ont organisé des réunions et des ateliers pour réfléchir à l'avenir du bâtiment avec des acteurs locaux et des institutions. L'Hôtel Pasteur est devenu un lieu d'expérimentation pour diverses activités, avec un panel large d'acteurs locaux. Le processus a été marqué par la prise en compte de la sécurité et de la réutilisation des matériaux. L'aménagement intérieur a été conçu de manière flexible, avec des espaces pouvant être modifiés et adaptés en fonction des besoins.
Le projet a également mis l'accent sur la transmission des savoirs et des savoir-faire. L'association Tout Atout a été mentionnée comme un exemple de collaboration entre artisans et jeunes en difficulté pour apprendre de nouvelles compétences. De plus, l'intervenant souligne l'importance des espaces informels, comme la cuisine, pour favoriser les rencontres et les échanges entre les utilisateurs du bâtiment. Il aborde également le rôle des architectes dans la réutilisation des bâtiments existants et la nécessité de repenser l'esthétique et la finition des espaces. En somme, l'Hôtel Pasteur est un exemple de projet collaboratif et expérimental qui vise à réutiliser un bâtiment historique de manière flexible et inclusive, tout en mettant l'accent sur la transmission des savoirs et l'adaptabilité aux besoins locaux.
5. Ouverture
L'expérimentation en architecture, urbanisme et paysagisme peut être considérée comme une réponse à la nécessité de repenser et de réinventer notre façon de concevoir et de construire nos espaces de vie. La complexité croissante des défis environnementaux, sociaux et économiques auxquels nos sociétés sont confrontées exige une approche plus flexible, adaptative et collaborative pour créer des espaces urbains durables et résilients. L'expérimentation architecturale et urbaine nous invite à repenser notre rapport à l'espace, et à considérer les implications à long terme de nos choix en matière de conception et d'aménagement.
La nature multidisciplinaire de l'architecture, de l'urbanisme et du paysagisme offre des opportunités pour intégrer des approches et des méthodologies provenant d'autres domaines, tels que les sciences sociales, les arts, la technologie et la biologie. Cette intégration permet d'élargir notre compréhension des processus complexes qui façonnent nos environnements bâtis et d'explorer de nouvelles solutions pour améliorer la qualité de vie des individus et des communautés. Elle souligne également l'importance de l'engagement des citoyens et des parties prenantes dans la co-création des espaces urbains. La participation active des communautés locales dans la planification et la conception de leurs environnements peut contribuer à une meilleure appropriation des projets et à la création d'espaces qui répondent aux besoins et aux aspirations des habitants. En outre, l'expérimentation architecturale et urbaine nous invite à repenser les modèles économiques et les mécanismes de financement de la construction et de l'aménagement urbain. Les approches novatrices et durables pourraient nécessiter de nouvelles formes de partenariats et de collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi que l'implication d'organisations non gouvernementales et d'acteurs locaux.
Des espaces de vie durables, résilients et adaptés aux besoins des individus et des communautés nécessite une collaboration étroite entre les différentes disciplines et acteurs, ainsi qu'une réflexion plus approfondie sur les valeurs, les priorités et les responsabilités qui sous-tendent la conception et la gestion de nos environnements.
-
Les Grands Ateliers de l’Isle d’Abeau. ↩
-
Boris Julliard et Céline Tcherkassy. ↩
-
Architecte et scénographe urbain ↩
-
Défendu par Pascal Rollet (architecte, professeur TPCAU, ENSAL) et Jean-Claude Bouly (Prof. titulaire de la Chaire Développement de la Petite Entreprise et Artisanat du CNAM et Président d'ARDAN FRANCE). ↩
-
Pascal Rollet, professeur d'architecture au Collège de Grenoble et directeur scientifique des Grands Ateliers d'architecture et d'innovation. ↩
-
Écoles Nationales Supérieures d'Architecture ↩